Tout public

Nous sommes des ondes sonores et lumineuses ralenties, un faisceau ambulant de fréquences syntonisés dans le cosmos. Nous sommes des âmes vêtues de vêtements biochimiques sacrés et nos corps sont les instruments à travers lesquels nos âmes jouent leur musique.
Albert Einstein

C’est Le petit Prince de Saint Exupéry qui nous a soufflé ce titre à l‘oreille.

Comme nous le conseille le poète Christian Bobin, nous abordons ce concert en considérant qu’habiter le monde, c’est l’habiter d’abord en contemplatifs.  Sous la voûte céleste, nous construisons un monde sonore en nous appuyant sur une bande environnante nous plongeant dans une musique des sphères réalisée avec des sons naturels et des synthétiseurs analogiques. Nous y déposons des percussions elles aussi sphériques (des planètes inventées ?) jouées en direct, et quelques mots poétiques autour des cieux, pour partir dans le cosmos, là où le son n’existe pas autrement que dans notre imaginaire.

« C’est une mère qui remet l’ourlet du drap au bord du visage de son enfant endormi, et c’est comme si elle prenait soin de toute la voie étoilée. A la même seconde, le geste de cette mère se double. De la même main, elle couvre son enfant pour qu’il n’ait pas froid et apaise tout le noir qu’il y a entre les étoiles dans le ciel. Ce geste est tellement simple qu’il a des résonances infinies. » Christian Bobin

Concert de musiques mixtes
(bande et percussions)
pour planétarium
et autres voutes célestes

Scène nationale Théâtre Durance, Château-Arnoux Saint-Auban

Ville du Mans

Thierry Balasse - composition, synthétiseurs et percussions

Hélène Schmit - composition, accordéon et perucssions

Nous sommes des ondes sonores et lumineuses ralenties, un faisceau ambulant de fréquences syntonisés dans le cosmos. Nous sommes des âmes vêtues de vêtements biochimiques sacrés et nos corps sont les instruments à travers lesquels nos âmes jouent leur musique.
Albert Einstein

C’est Le petit Prince de Saint Exupéry qui nous a soufflé ce titre à l‘oreille.

Comme nous le conseille le poète Christian Bobin, nous abordons ce concert en considérant qu’habiter le monde, c’est l’habiter d’abord en contemplatifs.  Sous la voûte céleste, nous construisons un monde sonore en nous appuyant sur une bande environnante nous plongeant dans une musique des sphères réalisée avec des sons naturels et des synthétiseurs analogiques. Nous y déposons des percussions elles aussi sphériques (des planètes inventées ?) jouées en direct, et quelques mots poétiques autour des cieux, pour partir dans le cosmos, là où le son n’existe pas autrement que dans notre imaginaire.

« C’est une mère qui remet l’ourlet du drap au bord du visage de son enfant endormi, et c’est comme si elle prenait soin de toute la voie étoilée. A la même seconde, le geste de cette mère se double. De la même main, elle couvre son enfant pour qu’il n’ait pas froid et apaise tout le noir qu’il y a entre les étoiles dans le ciel. Ce geste est tellement simple qu’il a des résonances infinies. » Christian Bobin